Ces chocolats de Noël cachent des dangers pour votre santé, voici lesquels éviter selon ce nutritionniste
Publié le 8 décembre 2025 par: Être Heureux
À l’approche des fêtes, les chocolats s’invitent sur toutes les tables. Mais derrière ces douceurs traditionnelles se cachent parfois des compositions riches en graisses et en sucres, loin d’être anodines pour la santé.

Le nutritionniste Jean-Michel Cohen met en lumière plusieurs produits à éviter, révélant des choix moins évidents qu’on pourrait le croire. Parmi les confiseries déconseillées, Jean-Michel Cohen pointe d’abord les “L’Original Lait Rochers” de Suchard, dont la composition repose largement sur des graisses végétales de palme et de karité. Ces matières grasses, moins intéressantes que le beurre de cacao, alourdissent fortement le produit. Une simple portion de 35 g atteint 197 calories, un apport qui encourage facilement la surconsommation, surtout en période festive. Pour le nutritionniste, ce mélange de graisses peu recommandables et de densité calorique élevée place ces chocolats parmi ceux à limiter.
Les Raffaello, un plaisir délicat mais saturé en graisses

Autre produit épinglé : les “Raffaello” de Ferrero, appréciés pour leur douceur coco-amande. Derrière leur apparente légèreté, ils cachent pourtant près de 30 % d’acides gras saturés, un taux particulièrement élevé. Cette richesse lipidique, combinée à une forte teneur en sucres, en fait une friandise déséquilibrée sur le plan nutritionnel. Selon Jean-Michel Cohen, leur réputation de douceur raffinée ne doit pas faire oublier qu’ils font partie des chocolats à consommer avec la plus grande modération.
Des alternatives perçues comme légères… mais trompeuses
Les After Eight de Nestlé, souvent associés à une sensation de fraîcheur et de légèreté, n’échappent pas non plus aux critiques. Leur composition repose avant tout sur du sucre et du sirop de glucose, auxquels s’ajoutent des graisses végétales et plusieurs additifs. Pour le nutritionniste, ces ingrédients altèrent nettement la qualité du produit, loin d’être une option diététique malgré leur format fin et leur goût mentholé.

Le Lindor Lait de Lindt, réputé pour son cœur fondant, figure également dans la liste des produits déconseillés. Dans son guide d’achat, Jean-Michel Cohen souligne que la pâte de cacao n’apparaît qu’en bas de la liste des ingrédients, signe que le chocolat est dominé par du sucre et des graisses végétales. Résultat : une qualité jugée inférieure, trop pauvre en cacao pour offrir des bénéfices nutritionnels réels.
Le bon choix : privilégier le chocolat riche en cacao
Pour rendre la dégustation plus saine, Jean-Michel Cohen recommande de se tourner vers des chocolats contenant au moins 70 % de cacao. Plus riches en antioxydants et en composés bénéfiques, ils sont également plus rassasiants, ce qui facilite un contrôle naturel des portions. À l’inverse, il met en garde contre le chocolat blanc, dépourvu de cacao et souvent très sucré, ce qui en fait l’un des choix les moins intéressants pour la santé.







