“Devenues imbai*ables” : chez Faustine Bollaert, Adeline Blondieau et Bénédicte Delmas enfoncent le clou

Publié le 29 août 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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Invitées sur le plateau de France 2, deux figures emblématiques de la télévision ont livré un témoignage puissant sur le regard porté aux femmes après 50 ans. Entre confidences intimes et dénonciation du cyberharcèlement, Adeline Blondieau et Bénédicte Delmas ont choisi de transformer une blessure publique en message d’émancipation.

Elles ont incarné, dans les années 1990 et 2000, l’insouciance et les intrigues de la série culte Sous le soleil. Vingt ans plus tard, Adeline Blondieau et Bénédicte Delmas continuent de susciter curiosité et affection. Pourtant, une simple photo diffusée en février 2025 sur Instagram a suffi à déclencher un torrent de remarques humiliantes. Le réseau social est devenu l’espace où l’admiration d’hier s’est muée en attaques personnelles, révélant combien les anciennes icônes ne sont jamais à l’abri des jugements.

Adeline Blondieau : assumer ses cheveux blancs comme symbole

Aujourd’hui mariée après dix années de vie commune, Adeline Blondieau dit avoir atteint une forme d’équilibre. Elle raconte avoir longtemps ressenti la pression liée à son image, mais refuse désormais d’y céder. « J’ai été un produit esthétique, je ne le suis plus », confie-t-elle. Pour elle, les cheveux gris sont désormais un signe de liberté et non un stigmate. Elle affirme avec assurance : « La mèche blanche, c’est moi, et je n’ai plus besoin de me justifier. »

Bénédicte Delmas : dénoncer une violence sexiste persistante

Son ancienne partenaire de jeu, devenue réalisatrice, n’a pas digéré la violence de certains internautes. Les commentaires les plus marquants, explique-t-elle, venaient d’hommes affirmant qu’elles étaient désormais « imbaisables ». Ces mots crus résument, selon elle, une idéologie ancrée : la valeur des femmes resterait associée à leur pouvoir de séduction. Pour Bénédicte Delmas, ce diktat est non seulement insultant, mais il mine l’estime de soi et entretient une injonction destructrice.

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Une émission pour inverser le regard

En participant à Ça commence aujourd’hui, les deux comédiennes n’ont pas seulement partagé une expérience douloureuse, elles ont revendiqué une autre manière de vieillir. Leur objectif : dénormaliser la quête impossible de jeunesse éternelle et inviter les femmes à se réapproprier leur âge. « Vieillir est un privilège, même si ce n’est pas toujours simple », insiste Bénédicte Delmas, rappelant que ce passage du temps mérite respect et reconnaissance.

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