« Je suis caissière et voici les phrases de clients que je ne supporte plus d’entendre »

Publié le 26 septembre 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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Les réseaux sociaux sont devenus un formidable espace de témoignages et de partages.

Parmi les nombreuses communautés actives, celle des caissières – et caissiers – attire l’attention en racontant avec humour et spontanéité les situations parfois absurdes ou agaçantes vécues au quotidien. Ces anecdotes, tour à tour cocasses et irritantes, dressent le portrait d’un métier souvent mal compris mais essentiel.

Certaines répliques sont devenues de véritables classiques. Le fameux « Si ça ne passe pas, c’est gratuit ! », lancé dès qu’un code-barres refuse de s’afficher, fait sourire une fois… puis devient vite lassant. De même, les questions redondantes agacent : « Y’a écrit retirer carte, je fais quoi ? » reçoit invariablement la réponse logique : « Vous la retirez. » Ces petites phrases, répétées chaque jour, rythment la vie derrière la caisse.

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Le malentendu permanent

Les anecdotes partagées sur Facebook ou X (ex-Twitter) montrent aussi le décalage entre signalétique et perception des clients. Les panneaux “caisse fermée” ou “scan-achat” semblent parfois invisibles, tant certains se précipitent malgré tout, provoquant des échanges drôles ou agaçants. L’une des histoires les plus parlantes reste celle du client demandant « C’est fermé ? » alors que le panneau trônait en évidence.

Entre humour et maladresse

Parfois, les caissières sont confrontées à des tentatives de séduction maladroites. « Je vais prendre le ticket, et je prendrais bien votre numéro aussi », a raconté l’une d’elles. Ces approches n’ont, selon elles, « jamais fonctionné ». D’autres récits évoquent des clients perdus face à l’évidence, comme cette femme demandant « C’est ouvert ? » alors qu’elle venait de franchir une porte automatique.

Quand la moquerie devient blessante

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Si certaines remarques sont perçues comme des maladresses, d’autres atteignent la dignité des employés. « Tu vois ma puce, si tu ne veux pas finir caissière… travaille bien à l’école » fait partie des phrases humiliantes qui circulent encore dans les rayons. Ces propos rappellent combien ce métier, pourtant indispensable, reste souvent dévalorisé.

Un exutoire collectif

Au fil des publications, une constante se dégage : l’humour sert d’arme pour relativiser. Les caissières partagent ces “perles” afin de prendre du recul et transformer l’agacement en sourires partagés. Comme dans la restauration, où le personnel de salle encaisse remarques et frustrations des clients, la caisse de supermarché devient l’endroit où se concentrent toutes les petites tensions… mais aussi des instants drôles, racontés ensuite en ligne.

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