Quand le cinéaste culte Jean-Marie Poiré lève le voile sur ses démons

Publié le 29 avril 2024 par: Être Heureux #etrehrx

Réalisateur culte des années 80 et 90, Jean-Marie Poiré a marqué les esprits avec des films devenus des classiques comme Les Visiteurs, Les Anges gardiens ou encore Le Père Noël est une ordure. Mais derrière les rires et le succès, se cachait un démon personnel qui a longtemps hanté le cinéaste : la consommation de cocaïne. Dans son livre autobiographique « Rire est une fête », Jean-Marie Poiré lève le voile sur cette période sombre de sa vie, révélant sans détour les effets dévastateurs de cette drogue sur sa carrière et son art.

Publicité:

Samedi 27 avril, invité sur le plateau de l’émission Quelle époque !, le réalisateur s’est livré à cœur ouvert, évoquant avec franchise ses démons passés. Un témoignage poignant et sans filtre, à l’image de son livre qui se veut un récit honnête et sans tabou.

La cocaïne : un démon personnel

C’est avec une sincérité désarmante que Jean-Marie Poiré a abordé le sujet de sa consommation de cocaïne. Une drogue qu’il qualifie sans détour de « saloperie », mais qu’il a pourtant longtemps utilisée pour surmonter sa timidité. « Ça me rendait aussi très con et très paranoïaque », confie-t-il, évoquant les effets pervers de cette substance sur son état d’esprit et son comportement.

Des anecdotes de tournage croustillantes

Mais Jean-Marie Poiré n’a pas été le seul à céder aux sirènes de la drogue. Dans son livre, le réalisateur évoque également les habitudes de certains de ses acteurs, notamment lors du tournage de Mes meilleurs copains en 1988. « Ils fumaient du pétard », se souvient-il, racontant comment une des loges était réservée aux « pétardeux » du casting, parmi lesquels Christian Clavier, Gérard Lanvin, Jean-Pierre Darroussin et Jean-Pierre Bacri.

Publicité:

Un échec artistique lié à la cocaïne

Mais au-delà des anecdotes croustillantes, Jean-Marie Poiré se confie également sur les conséquences désastreuses de sa consommation de cocaïne sur sa carrière. Il évoque notamment son expérience ratée dans la chanson dans les années 70, lorsque, sous l’emprise de la drogue, il s’est cru supérieur à tous et a fini par « merder » son disque.

Un livre sans filtre

 

Publicité:

À travers ces révélations cash, Jean-Marie Poiré prouve une fois de plus son engagement à livrer un récit authentique et sans concession. Son livre « Rire est une fête » se veut un témoignage brut, où le réalisateur n’hésite pas à aborder les zones d’ombre de sa vie et de sa carrière. Une démarche courageuse et salutaire, qui rappelle que même les plus grands artistes ont pu connaître leurs propres démons.

Suivant: « C’est fini » : Pourquoi Samuel Le Bihan a décidé de ne plus parler en public de sa fille Angia
VOIR L'ARTICLE
Publicité:

Merci! pour vos partages

SUR LE MÊME THÈME

Laisser un commentaire

NOS DERNIERS ARTICLES

Une enseignante mise à pied après avoir forcé un enfant à en frapper un autre

Ces chocolats de Noël cachent des dangers pour votre santé, voici lesquels éviter selon ce nutritionniste

Johnny Hallyday : « des traces de sang », une scène maquillée par une entreprise de nettoyage, « il ne voulait pas que… »

Dépression Davide : vagues de 10 mètres, vents forts… À quoi faut-il s’attendre dans l’Ouest ce samedi ?

Une propriétaire condamnée à un an de prison pour avoir tenté d’intimider le squatteur de sa propre maison

Romagnieu (Isère) : un garagiste tire sur des cambrioleurs, sa commune le soutient

Loire : Une femme débarque en ville avec deux personnes accrochées au capot de sa voiture

A 66 ans, il gagne 3,75 millions d’euros au loto et ne dit rien à sa femme mais rien ne va se passer comme prévu

Vous devriez toujours avoir une boule de papier aluminium dans votre sac en hiver, voici pourquoi

Agirc-Arrco : calendrier des paiements de pensions de retraite en 2026